mardi, 19 juin 2007

SINGAPOUR -BABYLONE













Juste pour dire que ca fait meme pas 24 heures qu'on est arrives et qu'on a deja achete des protections pour les ecrans de nos 2 appareils photo, 1 carte memoire d'1 giga, 1 pare-soleil pour l'appareil de Cedric, une petite fiole en verre grave, un pendentif en jade et un petit chat blanc en porcelaine...misere de misere!

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Elle se dopait au chewing gum, elle est maintenant sous les verrous. Notre reporter de choc, Puce Bondissante, a été arrêtée dès son arrivée à Singapore pour avoir jeté son chewing gum sur la voie publique. Elle explique qu'elle est devenue une accroc de cette substance au contact des 2 bipèdes qui lui ont fait mener un train d'enfer depuis le début de sa mission. "Ca m'aidait à tenir le rythme, je rebondissais mieux à chaque mastication", déclara-t-elle en sanglotant. Comme vous le constatez, chers lecteurs du Taon, l'Aline et le Cédric ont déjà gaspillé de nombreux congénaires insectoïdes. Notre Journal peine a trouver des remplaçants: Mite Hargneuse, contactée, a refusé vertement la proposition arguant qu'elle ne quitterait pas sa Chronique du Musée de la Laine pour se rendre au pays du coton. Nous recherchons activement Cafard Egrillard qui, pour l'instant, est porté disparu, enseveli sous les immondices dans le cadre de sa série, J'ai goûté pour vous. Nous ne désespérons pas le retrouver sous peu et en attendant, comme un peu trop souvent à notre goût, les 2 humains se retrouvent seuls, abandonnés à leur sort, dans une ville remplie de tentations.

Anonyme a dit…

Sans nouvelle de Cafard Egrillard, perdu sous son tas d'ordures, c'est son cousin, Cafard Cassecoup qui a eu la gentillesse d'accepter la mission journalistique et quelque peu risquée d'accompagner dans leur pérégrination les deux inoxidables humains.Cafard Cassecoup n'a pas hésité à quitter son job, oh combien envié, d'éboueur municipal pour embrasser sa nouvelle carrière de reporter spécial au Taon. Nous attendons une grande indulgence de la part de nos fidèles lecteurs envers notre jeune recrue qui, nous n'en doutons pas, saura très vite prendre le poul du Journal et s'imprégner des effluves caractéristiques des deux bipèdes.